PREPA TRAIL te permet de comprendre, organiser et adapter ton entraînement en profondeur — en tenant compte de ton niveau, de ton terrain, des contraintes du trail et des qualités spécifiques que ta course cible exige réellement.
Pour se remettre en forme, se tester, voir ce qu’on vaut.
Et rapidement, 5 km deviennent 10, puis un semi.
On suit des plans trouvés en ligne, on découvre les allures, le fractionné, la progression.
Et sur le plat, ça fonctionne.
C’est clair, structuré, mesurable.
On sait que si on court à telle vitesse, on travaille telle zone (plus ou moins).
Les progrès sont visibles, les chronos tombent, les sensations suivent.
Alors quand on se tourne vers le trail, on garde naturellement ces habitudes.
On reprend les mêmes formats, les mêmes types de séances, les mêmes repères.
On se dit que ça suffira. Que ça reste de la course à pied, après tout.
Et pendant un temps, ça passe.
Les premiers trails se terminent, les sensations sont bonnes, l’expérience progresse.
Mais rapidement, on atteint les limites du système.
Les séances deviennent difficiles à analyser, et les repères perdent en fiabilité dès que le terrain devient plus technique ou irrégulier.
On tente une séance de seuil, mais la pente change tous les 300 mètres, et la montre n’indique rien d’exploitable.
Et quand on lance une séance de haute intensité sans repères clairs, on part souvent trop fort.
Je le sais, j’ai été le premier à le faire.
Résultat : la fin devient désorganisée, l’intensité dérape, et ce qui devait être une séance "ciblée" se transforme en bloc brouillon, difficile à exploiter.
C’est souvent à ce moment-là qu’on réalise que le trail...
Ce n’est pas “la même chose mais en montagne”.
C’est une autre discipline, avec ses propres règles, ses propres exigences.
Une autre manière de gérer l’effort, de lire le terrain, de construire sa progression.
Et surtout : une autre manière de s’entraîner.
Pour la petite anecdote…
Le premier vrai trail que j’ai eu à planifier, c’était un 85 km.
Pas un format progressif ou intermédiaire. Directement un gros morceau.
Et comme beaucoup, ma première réaction a été de me ruer sur Google.
Dans ma tête, c’était : “85 km en montagne… ok, mais par où on commence ?”
Je suis tombé sur une avalanche de contenus : articles, vidéos, fichiers Excel, conseils plus ou moins fiables.
J’ai essayé de recouper, de trier, de prendre ce qui semblait cohérent.
Évidemment, j’avais déjà des notions solides d’entraînement, et j’étais capable d’analyser une partie de la littérature.
J’avais de l’expérience sur route, en triathlon longue distance, et dans la structuration des charges.
Mais même avec ça, j’ai rapidement compris que ça ne suffisait pas.
Le trail, ce n’est pas juste une course longue avec du D+.
C’est une autre logique, un autre terrain de jeu, avec ses propres contraintes.
Sur route, tu fais 8 × 1 000 m à 100 % de ta vitesse au seuil, tu sais ce que tu travailles.
Tu as des repères fiables, des temps de passage, des intensités claires.
En trail, dès que tu mets du relief, des sentiers, des bâtons, ces repères deviennent flous, parfois même trompeurs.
Cette première planification m’a évidemment ouvert les yeux.
Très vite, une évidence s’est imposée : Ce n’est pas la discipline, ni le sérieux dans l’entraînement qui manque chez la plupart des coureurs.
C’est la clarté sur les vraies problématiques à résoudre.
Ces questions, elles ne sont pas si nombreuses mais elles sont décisives si tu veux progresser durablement, sans t’éparpiller.
Des questions simples en apparence, mais essentielles pour progresser réellement en trail.
Quels repères utiliser concrètement pour s’entraîner efficacement ?
Sur route, on a l’allure. C’est fiable, clair, lié directement à l’intensité.
Mais en trail, entre les montées irrégulières, les sentiers techniques, les alternances course/marche… l’allure perd tout son sens.
Et oui, je t’entends : “On a la fréquence cardiaque.”
C’est vrai. Mais est-ce qu’elle suffit ?
Est-ce qu’elle reflète encore l’intensité réelle quand tu marches avec des bâtons dans du 30 de pente % ?
Quand tu fais une descente technique, ou que la fatigue s’accumule depuis 2 h ?
Comment développer spécifiquement ses qualités d’endurance selon le type de terrain ?
Faire une séance de seuil sur une pente à 10 %, ce n’est pas la même chose que de la faire à 35 %, bâtons en main, en mode rando-course.
Les contraintes musculaires, cardio-respiratoires peuvent êtrêe différentes.
Et si tu veux vraiment développer une qualité précise (seuil, puissance, endurance de force…), tu dois savoir quel terrain choisir, comment doser l’effort, et quelle intention mettre derrière la séance.
Comment se tester, concrètement, de manière utile ?
Les tests généraux ne te disent pas grand-chose sur ton efficacité en montée, ta capacité à relancer en descente, ou ta résistance musculaire après 2 h d’effort.
Alors comment s’évaluer intelligemment pour suivre ses progrès ?
Quels tests réaliser en trail pour guider ton entraînement, sans tomber dans la sur-interprétation des chiffres ?
C’est un angle que trop peu d’athlètes maîtrisent… et qui fait pourtant toute la différence sur le terrain.
Comment rendre compte de ton objectif ?
Parce que oui, le type de course que tu choisis, ça change tout.
Entre un trail roulant en moyenne montagne et une épreuve raide avec 3 500 m de D+ sur 50 km, ce ne sont pas les mêmes exigences.
Ni en termes d’effort, ni en termes de préparation.
Ton profil compte, bien sûr.
Mais ce sont tes objectifs qui doivent guider tes choix.
Une fois qu’on a compris que :
les repères classiques ne suffisent plus.
les qualités doivent être développées en lien avec le terrain.
les tests doivent servir à orienter (pas juste remplir un tableau).
et que le type de course change toute la logique…
Alors une vraie question se pose :
Comment on planifie tout ça intelligemment ?
Ce n’est pas parce qu’on quitte la route qu’on oublie les fondamentaux.
Les principes de l’entraînement restent valables — à condition de les caler sur les réalités du terrain.
Le développement de l’endurance repose toujours sur une base solide :
Des zones d’intensité clairement définies.
Un équilibre entre stress mécanique et stress métabolique, pour progresser sans basculer dans la fatigue chronique ou les blessures
Des repères objectifs (FC, RPE, puissance, temps) pour ajuster l’effort, même en conditions variables
Une répartition cohérente de la charge : volume, intensité, récupération, stabilité.
Une logique de progression dans le temps : blocs de développement, consolidation, affûtage.
Un équilibre entre le travail de fond et les rappels de haute intensité, pour maintenir tous les leviers actifs
On ne développe pas les mêmes qualités sur une pente à 8 % que sur une à 30 %.
Faire du seuil avec des bâtons, en marchant dans du raide, n’a rien à voir avec le même travail sur terrain roulant.
Le terrain transforme la nature même de l'effort.
Il faut donc choisir la bonne intensité, sur le bon profil, pour que chaque séance ait du sens.
Tu t’es déjà demandé…
Est-ce que faire du seuil sur route m’aide vraiment pour une course avec 2 000 m de D+ ?
Est-ce que mes sorties longues simulent bien le terrain de ma course cible ?
Est-ce que cette pente à 10 % suffit pour mes blocs de puissance ?
Est-ce que mes séances ressemblent vraiment à ce que je vais vivre le jour J ?
Ce programme a été pensé pour t’accompagner pas à pas.
Pas juste avec des blocs théoriques. Pas juste des séances à copier.
Mais avec un fil conducteur clair, logique, et applicable.
De la base jusqu’à la planification complète, adaptée à ton profil et à tes objectifs.
Voici les 5 étapes :
Le trail n’est pas qu’une question de kilomètres ou de D+.
Pour progresser et performer, tu dois d’abord comprendre les leviers physiologiques, mécaniques et mentaux qui déterminent ta capacité à courir longtemps, efficacement, en terrain difficile.
Tu vas comprendre :
Quels sont les 5 grands facteurs de performance en trail : capacité aérobie, tolérance musculaire, économie de course, stratégie d’effort, robustesse mentale.
Pourquoi la capacité aérobie (VO2max, seuils ventilatoires) reste le socle… mais n’est jamais suffisante seule !
Comment la fatigue musculaire périphérique, notamment excentrique, devient LE facteur limitant sur le trail longue distance.
En quoi ton économie de course (moindre dépense énergétique à une allure donnée) est un avantage énorme sur les efforts prolongés.
Comment la variabilité de l’intensité en trail rend les seuils classiques moins prédictifs que sur route.
Pourquoi ta performance dépend de ta capacité à maintenir un temps de soutien élevé en zone sous-maximale, sans basculer dans le rouge.
Comment une mauvaise gestion d’effort (notamment en montée) peut ruiner ta course en moins de 30 minutes.
🎯 À la fin de cette étape, tu sais exactement sur quoi tu dois travailler pour progresser efficacement.
Pas de croyances vagues, pas de blabla.
Juste une vision claire de la mécanique de la performance trail.
Dans cette étape, tu vas t’approprier les principes d'entraînement qui font réellement progresser, en trail comme ailleurs, avec une lecture spécifique à l’effort en terrain varié.
Tu vas comprendre :
Pourquoi la progression dépend de la gestion de la charge (Volume × Intensité × Fréquence × Complexité), pas juste du nombre de kilomètres.
Ce que sont les domaines d’intensité physiologiques (modéré, lourd, sévère, extrême) — et à quoi ils correspondent sur le terrain/
Comment situer tes seuils ventilatoires VT1 et VT2 :
VT1 = début du métabolisme glucidique,
VT2 = seuil de tolérance lactique, début de l’instabilité
Pourquoi les zones ne sont pas “juste une histoire de cardio”, mais le reflet de ce que ton corps produit et consomme (substrats, lactates, oxygène)
Le rôle fondamental de la zone 1 (domaine modéré) pour construire ta base aérobie :
→ meilleure biogenèse mitochondriale,
→ endurance à long terme,
→ récupération active optimisée
Pourquoi la zone 2 (entre les seuils) doit être utilisée avec parcimonie : elle crée de la fatigue sans réel bénéfice si elle est trop fréquente
Comment travailler au seuil 2 (VT2) te permet d’augmenter ton temps de soutien en intensité sous-maximale, ce qui est capital dans les longues montées
Pourquoi les séances dans le domaine sévère (zones hautes) sont à manier avec précision : utiles pour les adaptations centrales, mais peu “spécifiques trail” si mal placées
Comment organiser tes semaines avec une dominante en basse intensité, et quelques pics bien choisis pour provoquer l’adaptation sans surcharge
Comment utiliser le ressenti (RPE), ta fréquence cardiaque et la dérive cardiaque pour affiner ton entraînement sans capteurs coûteux
Et surtout : pourquoi un entraînement “dur mais mal structuré” te fatigue… sans te faire progresser.
Comment utiliser les seuils ventilatoires (VT1 et VT2) pour organiser tes zones d’entraînement de manière fiable.
Comment structurer des blocs de charge et de récupération pour provoquer une surcharge efficace et assimilable.
Pourquoi tu dois différencier les adaptations centrales (cardio, VO2max) des adaptations périphériques(musculaires, métaboliques).
Ce qu’est la zone grise, et pourquoi elle ralentit (ou pas) ta progression si tu t’y entraînes trop souvent.
Comment adapter les formats d’intensité (intervalles, blocs continus, seuils) à la logique trail (plus chaotique que la route).
Et surtout : pourquoi un entraînement non structuré conduit plus souvent à la stagnation qu’à la performance.
🎯 À la fin de cette étape, tu disposes d’une vraie grille de lecture pour comprendre ce qui fait progresser ton corps, et ce qui l’épuise pour rien.
Ce qui fait la spécificité du trail, ce n’est pas juste le D+.
C’est l’impact du relief sur ta façon de produire de l’énergie, de mobiliser ta force, et de gérer ton effort sur le long terme.
Sur route, l’intensité est liée à la vitesse.
En trail, elle est liée au terrain — et donc, à la force que tu dois produire pour avancer.
Et cette force, elle se paye : en énergie, en fatigue musculaire, en stabilité.
Tu vas comprendre :
Que le trail repose sur une relation force-vitesse inversée : plus le gradient augmente, plus la vitesse diminue mais la production de force musculaire explose — un paramètre clé pour orienter tes filières énergétiques.
Pouruquoi ton profil force-vitesse individuel (plutôt puissant ou endurant) doit guider le choix de tes modalités d'entraînement : pente, durée, intensité, bâtons — pour cibler tes leviers de progression réels.
Pourquoi les qualités de vitesse sur le plat se transfèrent en montée jusqu’à environ X% de pente, au-delà, c’est la force qui domine, ce qui implique de choisir tes pentes d’entraînement selon la qualité que tu veux développer.
Pourquoi certaines séances doivent être pensées selon la filière énergétique ciblée et le gradient utilisé (ex : 4 × 5 min à 85 % FC max sur 15 % de pente = seuil spécifique trail)
que l’utilisation des bâtons n’est pas un simple appui, mais un levier efficace pour augmenter la force propulsive, répartir la charge musculaire, et optimiser le rendement en montée.
que la transition course → marche en montée est souvent subie plutôt que choisie, alors qu’il est stratégique d’en repousser le seuil en travaillant ton économie de course, ta force spécifique et ta capacité à soutenir un effort sous-maximal prolongé.
que différentes métriques d'entraînement (puissance, fréquence cardiaque, vitesse ascensionnelle) sont chacune pertinentes selon le type de pente, l’objectif de la séance et la filière visée, et qu’il faut les utiliser de façon contextualisée, pas interchangeable.
S'entraîner, c’est bien.
Mais encore faut-il savoir où tu en es, et ce qui te fait progresser ou régresser.
Tu vas comprendre :
Pourquoi les tests classiques ne suffisent pas en trail, et comment les adapter pour tenir compte du gradient et de ton profil locomoteur.
Comment réaliser un test terrain (sans materiel honereux) pour calibrer tes zones en trail.
Comment analyser ta capacité à soutenir un effort sous-maximal en montée, un vrai marqueur de performance trail.
Pourquoi il est essentiel de croiser plusieurs données (FC, RPE, vitesse ascensionnelle, puissance) selon le type de séance ou de course.
Comment utiliser des plateformes d'entrainement pour suivre ta charge, ta récupération et ton niveau de forme au fil des semaines.
Apprendre à analyser une course a posteriori : pacing, intensité, points de rupture, erreur stratégique ou énergétique, etc..
Savoir lire les signes de fatigue chronique ou d'entraînement mal calibré (ex : performances stables mais FC plus haute, ou récupération allongée).
Tu vas accéder à 2 outils gratuits et automatisés fournis dans la formation, qui permettent d’établir ton profil athlétique(force, endurance, intensité soutenable…) et de générer un récapitulatif clair pour guider tes ajustements d'entraînement.
→ Organiser ton entraînement de manière autonome, progressive et réaliste
Dans cette dernière étape, tu apprends à devenir ton propre préparateur, avec une méthode structurée mais souple.
Tu vas comprendre :
Comment structurer une semaine-type (microcycle) selon ta fréquence d’entraînement, ton niveau et ta capacité de récupération
Quelle logique de répartition utiliser entre endurance, seuil, spécifique trail, renforcement et récupération — et comment les prioriser selon ton objectif
Pourquoi respecter des cycles de charge (type 3:1 ou 2:1) permet une vraie progression sans surmenage ni stagnation
Comment choisir tes formats de séance (blocs, intervalles, continus, rando-course…) en fonction de ton objectif énergétique ou musculaire
En quoi une périodisation simplifiée (développement – affûtage – maintien – transition) permet de structurer ta saison sans complexité inutile
Comment intégrer les données issues de tes tests (HR critique, dérive cardiaque, puissance, profil ascensionnel) pour ajuster ton plan en continu
Pourquoi il faut raisonner en charge interne (ressenti, FC, fatigue) autant qu’en charge externe (volume, intensité, D+)
Comment adapter ta planification en fonction des imprévus (fatigue, travail, météo, moral) sans tout remettre en cause
Comment gérer les semaines de pré-course (affûtage) : baisser le volume, maintenir l’intensité, renforcer ta fraîcheur
Et surtout : comment créer un plan qui n’est pas figé, mais vivant, ajustable et vraiment aligné avec tes besoins.
Pas en courant davantage.
Mais en comprenant mieux.
Et en structurant leur préparation avec méthode.
Le trail est une discipline complexe, exigeante, riche.
Elle mérite plus qu’un entraînement générique ou improvisé.
Ce programme ne promet pas des raccourcis.
Elle propose une approche rigoureuse, progressive, et adaptée à la réalité du terrain.
Elle s’adresse à ceux qui veulent avancer avec des repères clairs, des outils concrets, et une vision long terme.
En rejoignant ce programme, vous accédez à :
Une méthode structurée, appuyée sur des données fiables et vulgarisées,
Des outils automatisés pour mieux comprendre votre profil et ajuster votre entraînement,
Des contenus précis, applicables, pensés pour vous rendre autonome sur toute une saison,
Une approche sobre, efficace, conçue pour s’adapter à votre emploi du temps, votre niveau, et vos objectifs.
Pas de promesse spectaculaire.
Juste un cadre sérieux, pensé pour ceux qui veulent progresser de façon durable, sans y laisser leur énergie.
✅ Disponible à 200 € au lieu de 549 €.
Une opportunité unique pour structurer ton entraînement avec une méthode complète, cohérente et adaptée à la réalité du trail.
Pensé pour les traileurs qui veulent aller plus loin que les plans génériques
et enfin comprendre comment construire un entraînement efficace, spécifique et durable.
✔️ 5 modules complets, structurés et progressifs
✔️ Accès aux outils personnalisés d’analyse de profil
✔️ Mises à jour incluses, accès illimité
✔️ Pensé pour les traileurs de tous niveaux, de façon sérieuse et réaliste
Ce programme a été conçu pour ceux qui veulent devenir autonomes dans leur entraînement.
Comprendre ce qu’ils font, pourquoi ils le font, et être capables d’adapter leur préparation de manière intelligente et durable.
Mais si, malgré ton investissement, tu as encore le sentiment que quelque chose t’échappe…Que tu n’arrives pas à y voir clair, à structurer tes séances ou à relier tout ça à ton objectif.
Je m’engage personnellement à passer 1h en visio avec toi.
On reprendra ensemble les bases, on clarifiera ton contexte, et je t’aiderai à construire une trame d’entraînement adaptée à ta course et à ton profil.
Ce n’est pas une promesse miracle.
C’est un vrai engagement : que tu ressortes de ce programme avec des outils concrets, utilisables, et surtout, avec une méthode que tu maîtrises.
Parce qu’après ton investissement, il n’y a que deux options :
Soit tu gagnes en autonomie… soit tu gagnes un accompagnement personnalisé.